Web mortem
« Entre réel et virtuel, Web mortem est un thriller original et réussi. Il entraîne le lecteur dans une partie angoissante où le maître du jeu mêle de curieuses scènes de crime à des langues et des histoires oubliées. Vous ne verrez plus la Toile de la même façon... »
Paris-Match (« sélection estivale pour ne pas bronzer idiot »)
« Web mortem, c'est du suspense cinq étoiles. On ne lâche pas ce livre, une fois ouvert. (…) Comme son titre l'indique, ce thriller se passe également dans une dimension virtuelle, dans l'univers des jeux en ligne qui n'est pas moins terrifiant. Haletant. »
L’Est-républicain
« Christine Adamo s'affronte ici à un genre récent, où les réussites sont rares, le cyber-thriller, où ce qui se déroule dans la réalité virtuelle influence le monde réel. Elle s'en tire (...) nettement mieux que tous ceux ayant sévi entre-temps. Un agréable moment d'évasion, au son d'une écriture plaisamment familière. »
Le Figaro Magazine (« Les huit grandes enquêtes à suivre cet été »)
« Attention, l’auteur de ce roman divertissant est on ne peut plus sérieux : Christine Adamo, chercheuse spécialisée dans l’information scientifique, a participé en effet à la création d’un parc naturel pour le cœlacanthe, ce mystérieux poisson préhistorique en qui certains distinguent le fameux « chaînon manquant » de l’évolution. Elle a du coup fait de cet animal piscicole le héros de son premier roman Requiem pour un poisson (Ed. Liana Levi). La réussite, intrigante et érudite, fut saluée de toutes parts, et suivie d’un deuxième ouvrage, plus classique, Noir austral, qui se penchait, lui, sur le mystère de nos origines et l’occidentalisation forcée des Aborigènes australiens.
Pour son troisième roman, elle fait le grand saut et devient cette fois l’atout maître d’Albin Michel pour l’été. (…) Adamo a su garder toute sa singularité, dans ce ping-pong entre énigmes scientifiques et policières qui faisait le prix de ses deux premiers romans. Ainsi suit-on un éminent professeur de l’université écossaise de St Andrew accusé du meurtre de sa maîtresse, troisième d’une série de tueries virtuelles perpétuées sur le campus, tandis qu’un mystérieux jeu vidéo ayant un lien avec les langues babyloniennes semble mener la danse… De nouvelles noces rouges entre science et polar. »
Le magazine littéraire hors-série
« Dans un récit ciselé à la manière de nos séries américaines les plus anxiogènes, Christine Adamo déroule son menu de crimes, de sexe, et de… rock ! Mais au fait, c’est quoi, Web mortem ? Un jeu vidéo qui a mal tourné, une histoire d’amour qui a dérapé, des ambitions qui ont implosé ? Rien de tout ça ? Pour le savoir, plongez les yeux fermés dans ce thriller sanguinolent. Vous n’aurez peut-être plus envie, ensuite, de rallumer votre ordinateur. »
Ouest France
« L’Ecole des sciences et techniques de St Andrew est le théâtre de plusieurs meurtres rituels. Un jardinier yéménite, un étudiant ukrainien et la maîtresse de Hammond Mac Leod, brillant doyen de l’école, sont assassinés. Aidée par une journaliste, Mac Leod parvient à fuir un policier teigneux qui le croit coupable. Il gagne New-York où d’autres meurtres semblables se produisent. Le maître d’œuvre de ces assassinats continue d’appâter ses victimes au moyen d’un jeu vidéo. L’auteur est une scientifique française qu’on avait découvert en 2005 avec l’excellent Requiem pour un poisson. Ses récits des protagonistes et ses scènes de jeux vidéo nous embarquent dans un passionnant jeu de piste. »
L'Est Republicain
« Les internautes ont déjà fait leur choix: "Web mortem", c'st du suspense cinq étoiles. On ne lâche pas le livre une fois ouvert. (...) Haletant. »
Carrefour savoirs
Et aussi Impact médecine, VSD, L’internaute Week-end, etc.